“ This is who I am ”

― Nom ; «Campbell. Vous connaissez certainement ce nom. Irlandais, les Campbell sont réputés pour être riches, certes mais aussi pour être une grande lignée de sang pur. De plus, ils ont toujours été très importants aux yeux du ministère de la magie. D’ailleurs, presque tout les membres de la famille sont ou étaient Aurors. »
― Prénom(s) ; « Eithleen et Blodwyn. Je ne me plains pas de mes prénoms. A vrai dire, je m’en fiche qu’ils soient beau ou pas. Je sais juste qu’ils reflètent mes origines Irlandaises, c’est tout ce qui importe. Ma mère à choisi le premier, et mon père le deuxième, soit disant. Mais je sais que tout vient de mal mère, pour la bonne et simple raison qu’elle a toujours rêvé de s’appeler comme ça. Allez savoir pourquoi…. »
― Date & lieu de naissance ; «Je suis née un 30 Mars en Irlande, à Glaway. »
― Âge & année ; « Je suis en troisième année, j’ai dix-huit ans. »

“ Can I dazzle you ? ”

― Personnalité ; « Il est bien difficile de déchiffrer la personnalité de la jeune Eithleen. A vrai dire, rare sont ceux qui y arrivent. Il faut dire la petite n’en donne pas vraiment l’occasion. En effet, elle manque de sociabilité. Elle préfère de loin être seule que de côtoyer d’autres élèves. Ceux-ci la dégoûtent plus qu’autre chose. D’ailleurs, de nature rancunière, elle aime les faire payer pour ce qu’elle a vécu, même si les pauvres sorciers ne lui ont rien fait. Comment elle s’y prend ? De plusieurs manières. Il faut savoir que Eithleen est une manipulatrice née, et qu’elle n’a aucun scrupule à embobiné quelqu’un, fille ou garçon, Gryffondor ou Serpentard, première ou cinquième année. Plus ils souffrent, plus ils pleurent, mieux c’est. Elle éprouve même un malin plaisir quand elle croise des peureux dans les couloirs, songeant à ce qu’elle pourrait le faire. La belle Eithleen est assez calculée pour préparer ses vilaines farces, et est d’ailleurs très rusée. Selon elle, il faut être un minimum intelligent et avoir de l’imagination pour pourrir la vie des élèves. Effectivement, il faut varier les choses, sinon, sa technique de manipulation marche moins bien. Personne n’est infaillible, ce qui est normal. Et il a toujours des élèves qui résistent à ces menaces. Mais têtue et déterminée comme elle est, elle n’abandonne jamais. Vous l’aurez compris, Eithleen n’a pas de cœur, et rien ne peut la faire souffrir.
Vous ne verrez jamais un sourire heureux se dessiner sur son visage. Si jamais un sourire apparaît, il sera obligatoirement démonique, malicieux ou satisfait. Au choix. En ce qui concerne son rire, c’est la même chose. Il ne lui ait jamais arrivé d’avoir un fou rire entre amis.
Il faut se méfier d’elle, parce qu’elle est vraiment imprévisible. Et au premier regard, peut la prendre pour une folle aux yeux maquillés, pâle, presque maladive et inoffensive. Et elle fait tout pour conserver cette image. De plus, il faut dire que le son de sa voix ne retentit pas souvent. Elle parle seulement lorsque cela est nécessaire.
La jeune fille n’a aucune limite. A vrai dire, elle ne sait pas faire la différence entre le bien et le mal. Ce qu’elle aime, c’est le danger, et elle n’hésite jamais à plonger la tête la première dans une situation dangereuse. »

― Histoire ; « La belle Eithleen avait tout pour être heureuse. Issue d’une famille riche et importante dans le monde de la sorcellerie, elle aurait put être gâtée, choyée et aimée. Aurait pu seulement, car rien ne s’était déroulé de la sorte.
Pourtant, cela avait bien commencé. Eithleen est née dans la belle ville irlandaise de Glaway. Elle n’y resta que trois ans, avant de déménager à Londres, pour le travail de ses parents.
Dès sa naissance, elle fut connue de la plupart des sorciers, présentée à presque tout le ministère par ses parents. Durant deux ans, elle fut considérée comme la petite fille parfaite et rêvée des Campbell. Recevant une éducation exemplaire dès son plus jeune âge, ses parents était plutôt fière d’elle. Néanmoins, la vie parfaite d’Eithleen commença à se dissoudre à la naissance de sa petite sœur, Harmony. En effet, les parents si heureux d’avoir une deuxième fille, mirent légèrement de côté leur fille aînée. Au début, ce n’était pas dramatique. Les deux sœurs reçurent la même éducation, presque le même amour, même si Mr et Mrs Campbell soutenaient Harmony dans les petites disputes entre sœurs.
Lorsque Eithleen entra à l’école, elle se fit beaucoup d’amis, et était appréciée des autres. « Bizarrement », lorsque sa sœur la rejoignit, ses amis l’oublièrent peu à peu. Elle en avait toujours, mais moins. Et au fur et à mesure qu’elle grandissait et changeait d’école, il se passait la même chose. Beaucoup d’amis, puis plus que quelque uns. Mais la gentille petite Campbell ne s’en plaignait pas. D’ailleurs elle ne s’en rendait même pas compte. Mais, à l’instant où sa sœur cadette compris qu’elle était la préférée de ses parents et avait une facilité à être aimée de tous, elle se mit à en profiter. C’est ainsi que l’injustice fit surface dans la vie d’Eithleen. De nombreuses fois elle se retrouva punie pour des choses qu’elle n’avait pas faites, de nombreuses fois elle entendit de méchantes paroles à son sujet et de nombreuse fois elle se retrouva écrasée par sa petite sœur. Malheureuse, la petite brune encaissait, seule. Au bout d’un moment, elle s’y habitua, et ne prenait plus en compte la préférence d’Harmony.

Lorsqu’elle reçu sa lettre de Poudlard, elle cru mourir de bonheur. En effet, elle allait quitter cette injustice et entamer une nouvelle dans une nouvelle école. Cependant, rien ne se passa comme elle l’avait imaginé, à cause de ce fichu Choixpeau magique. Précisons que tous les Campbell sont allé dans la même maison, donc que lorsque les parents d’ Eithleen apprirent qu’elle n’avait pas suivit cette habitude, elle devint la risée de la famille. Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase, et dès cet instant où elle se vit presque rejetée, elle devenu exécrable. Il faut dire qu’avant son entrée à Poudlard, elle n’était pas si méchante que ça. Mais durant cette première année, elle se jura de se venger sur n’importe qui. Parce à présent, elle considérait que rien ni personne ne pouvait lui faire de mal. Elle se fichait de tout. »

“ Look behind me... ”